Récit d’un voyage à vélo à Bali : Troisième jour sur Trawangan

Au matin du troisième jour, ils décidèrent de se lever tard. C’est donc vers 10h30 que nous arrivons au cyber-café où nous tentons, entre deux pannes d’ordinateur, de mettre notre blog à jour. Conscients de la difficulté de trouver internet, nous avions consigné les grands moments de nos journées dans un petit journal. Il nous arrive tellement de choses chaque jour que cette simple habitude (bien plus respectée par Claudia que par moi) nous aura permis de ne pas trop nous emmêler les pinceaux…

Un steack de Barracuda plus tard, nous partons “égaliser le bronzage” en bouquinant sur la plage.

Steack de barracuda à la plancha.

Les transats que les hôtels mettent à disposition ne sont accessibles que si vous prenez une consommation au bar. Au moment d’aller (<- j’ai trouve l’apostrophe) nous baigner, nous comprenons pourquoi le coin est si tranquille : la plage de sable blanc s’arrête dès que commence la mer, pour laisser place aux coraux acèrés qui nous blessent les pieds… Soit vous prenez vos basquettes, soit vous suivez la foule!

Des enfants jouant sur le sable (après avoir fait du surf sur des planches de bois !!)

Le soir, nous partons en quête d’un barbecue de fruits de mer, ce que font finalement tous les restaurants du coin. Le homard coute 4 euros les 100 grammes, contre une bonne soixantaine en France. C’est bonnnn!

En partant du haut : red snapper, barracuda et mahi-mahi. Etalage du Villa Ombak Restaurant.

Nous finissons la soirée dans une bar branché, le Rudy’s Pub, plein de surfers et de pépettes un peu pompettes. Pas trop notre truc, quand on voyage en amoureux! Faites attention, car ici, on vous propose des champignons magiques toutes les 5 min, et il y a même des pancartes qui en font la réclame a l’entrée des bars (“We have fucking amazingly fresh magic mushroooms…”). Je vais paraître vieux jeu pour certains, mais ne vous laissez pas tenter, malgré la banalisation de la chose, ça reste dangereux à consommer et totalement interdit sur le territoire indonésien (peine de mort pour la consommation de toute drogue).

Le retour se fait en zig zag, tellement c’est plus marrant…

Lire la suite de mon voyage à vélo à Bali