Partir en voyage quand on est jeune, plein d’idées et sans le sou, c’est possible, notamment grâce à l’association Zellidja. Sacha en a bénéficié en 2006. Il raconte…
1. Bonjour Sacha. Tu es parti au Cambodge grâce à l’association Zellidja. Peux-tu nous en dire plus sur le but de cette association et les conditions à remplir pour prétendre à cette bourse de voyage ?
La philosophie de la Fondation est extrêmement simple. Elle est la même que celle établie par le fondateur, Jean Walter, en 1939. Il s’agit d’attribuer des bourses de voyage à des jeunes afin qu’ils puissent partir à la découverte du monde, se confronter à la réalité et apprendre toute sorte de choses qu’on ne leur apprendra jamais sur les bancs du lycée, de l’université ou d’une école quelconque. Les jeunes qui souhaiteraient faire acte de candidature doivent avoir entre 16 et 20 ans au moment où ils partent pour leur premier voyage. Pourquoi ? Car, d’une part, il faut bien limiter un peu le nombre de candidats et, d’autre part, la philosophie de la Fondation repose surtout sur l’idée qu’elle est valable pour un esprit jeune (et donc encore un peu malléable et/ou sans a priori), un esprit qui sera peut-être marqué à vie par son expérience de voyage en solitaire. Le voyage en solitaire ne peut poser son empreinte indélébile que dans un esprit qui n’est pas encore (mal)mené par des considérations professionnelles, politiques…etc. Après avoir vécu l’expérience Zellidja puis vieilli de quelques années, je suis assez d’accord avec ce principe.
Les autres conditions sont qu’il faut être francophone (mais pas forcément français), présenter un projet écrit qui implique de voyager en solitaire et pour une durée minimale d’un mois, pouvoir se présenter à un entretien en France et, enfin, partir entre juin et décembre de l’année.
Les autres conditions sont qu’il faut être francophone (mais pas forcément français), présenter un projet écrit qui implique de voyager en solitaire et pour une durée minimale d’un mois, pouvoir se présenter à un entretien en France et, enfin, partir entre juin et décembre de l’année.
2. Quel était ton sujet d’étude et comment l’as-tu choisi ?
Mon sujet d’étude s’intitulait “Sur les traces des khmers rouges – entre mémoire et histoire”. J’ai présenté ce projet en 2006, j’avais 18 ans. Dans le cadre de mes études et de quelques recherches, je m’étais intéressé à la période du régime communiste au Cambodge, au génocide ainsi qu’à la procédure mise en place depuis le début des années 2000, en partenariat avec l’ONU, afin d’instaurer un tribunal spécial chargé de juger les anciens dirigeants génocidaires. Je me suis assez vite dit que cela ferait un beau sujet. En 2006, malgré une croissance économique très forte, le Cambodge portait encore des traces de cette période noire. Cela ne faisait que quelques années que Pol Pot était mort, que les derniers contingents khmers rouges, cachés dans les montagnes au Nord, avaient cessé d’exister, et seulement quelques mois qu’un autre dirigeant, Ta Mok était mort. Il y avait donc de quoi faire, de quoi voir et de nombreuses personnes à qui parler.
3. As-tu des conseils à nous donner pour la préparation du dossier de bourse ? Quelles questions t’ont été posées par le jury lors de ton oral ? Quels sont leurs critères de sélection ?
En ce qui me concerne, j’ai apprécié faire d’une pierre deux coups, c’est-à-dire que j’ai choisi un thème de voyage qui avait un lien avec mes études de droit et mon goût particulier pour le droit et les relations internationales. Cela a permis de confronter mon apprentissage théorique à la réalité du terrain.
Il faut ensuite préparer un projet assez précis, qui comporte notamment un budget (ce qui implique de bien connaître les tarifs locaux et donc de se renseigner) et un itinéraire (là aussi il faut bien étudier ce qu’il est possible et intéressant de faire). Il faut avoir un fil directeur bien établi, savoir où l’on va et pourquoi. On a bien sûr le droit de s’arrêter quelques jours dans un endroit touristique ou pour visiter des monuments ou des lieux particuliers (on y va aussi pour ça !) mais il ne faut pas perdre le fil de l’étude, et cette démarche donne vraiment un sens au voyage, qui par ailleurs est assez long (ce qui permet aussi de modifier son programme en fonction des circonstances particulières).
Il faut ensuite préparer un projet assez précis, qui comporte notamment un budget (ce qui implique de bien connaître les tarifs locaux et donc de se renseigner) et un itinéraire (là aussi il faut bien étudier ce qu’il est possible et intéressant de faire). Il faut avoir un fil directeur bien établi, savoir où l’on va et pourquoi. On a bien sûr le droit de s’arrêter quelques jours dans un endroit touristique ou pour visiter des monuments ou des lieux particuliers (on y va aussi pour ça !) mais il ne faut pas perdre le fil de l’étude, et cette démarche donne vraiment un sens au voyage, qui par ailleurs est assez long (ce qui permet aussi de modifier son programme en fonction des circonstances particulières).
Le jury est surtout là pour voir si le candidat semble débrouillard, vraiment motivé. Il s’agit réellement de le rencontrer et de le connaître et non de le mettre en difficulté ou de procéder à un entretien d’embauche. Ensuite, le jury pose quelques questions afin d’obtenir des précisions sur le projet, voir si le candidat maîtrise son idée mais, encore une fois, je crois que c’est plutôt dans une démarche d’accompagnement du candidat et non pour le déstabiliser (j’ai fait partie d’un jury à Tours en 2008, l’ambiance était bonne et les candidats un peu stressés ont vite été rassurés). Enfin, le jury doit nécessairement sélectionner les projets. Là, de nombreux facteurs peuvent entrer en jeu et certains candidats sont forcément déçus de ne pas pouvoir partir. Toutefois, l’expérience est bonne pour eux aussi et les plus motivés trouveront d’autres sources pour financer leur projet.
4. Une fois sur place, comment as-tu mené à bien ton projet ? As-tu réussi facilement à rencontrer des interlocuteurs pour faire avancer ton projet ? Quelles difficultés as-tu rencontré ?
C’était mon premier grand voyage et grand dépaysement donc. A vrai dire, j’ai eu besoin de quelques jours pour prendre des repères et me mettre à l’aise dans un pays comme le Cambodge. J’ai ensuite commencé mon périple en visant notamment des lieux connus et chargés d’histoire. C’est en suivant ce chemin assez simple que j’ai pu faire des rencontres, recueillir quelques témoignages et aller plus loin dans mon étude. Après trois semaines, j’étais tout au Nord du pays, là où très peu d’étrangers vont car il y a peu de lieux touristiques. C’est au Nord que les khmers rouges sont restés présents jusqu’à la fin des années 1990. Et c’est en interrogeant les gens, en vadrouillant un peu à moto avec un jeune homme qui me servait de guide, qu’on nous a indiqué l’endroit où Pol Pot avait été enterré, puis l’ancienne maison de Ta Mok…etc. Je me sentais un peu détective et j’ai pu ajouter des choses ou des photographies à mon rapport.
J’ai eu évidemment quelques difficultés pendant mon voyage. D’abord, je n’avais pas beaucoup de contacts sur place lorsque je suis parti, seulement quelques uns, que j’ai finalement à peine vus. C’est un de mes regrets. Heureusement, au fil des rencontres, j’ai pu discuter avec d’autres personnes. Ensuite, la langue, certains modes de transport, la roue de ma moto qui crève au milieu de la campagne… Il fallait apprendre à se débrouiller dans beaucoup de situations. Pour aller dans le Nord en pleine saison des pluies, il a fallu trouver des gens qui allaient dans tel ou tel village. Cela s’est fait très facilement. Mais les routes étaient en mauvais état. En réalité, je me suis beaucoup amusé et je n’ai jamais vraiment vécu ces moments comme des difficultés. Par exemple, lorsque j’ai crevé au milieu d’une piste de campagne, cela faisait déjà quatre semaines que j’étais au Cambodge, et cela s’était déjà produit avec un guide à un autre moment. J’ai pris exemple et j’ai alors réagi plus comme un cambodgien que comme un français, c’est-à-dire que je savais très bien qu’un bonhomme pourrait me dépanner dans les 2 km à la ronde. Je suis allé tranquillement vers la première maison, quelqu’un m’a indiqué une direction à suivre, j’ai marché peut-être un kilomètre et un vieil homme m’a sorti de sa cabane une chambre à air michelin neuve et des outils. C’était assez drôle et a posteriori je me dis que j’ai vraiment changé entre les premiers jours où j’étais un peu perdu, dans tous les sens du terme, et les derniers où ces petites situations me semblaient tout à fait normales et faciles à gérer.
5. A ton retour, tu dois rendre un journal de bord et un rapport d’enquête. As-tu partagé ces informations avec d’autres organismes que Zellidja ?
A mon retour, j’ai dû rendre un budget détaillé (avec un maximum de justificatifs, qui constituent autant de souvenirs), un carnet de route dans lequel je racontais mon quotidien, mes expériences et mes rencontres un rapport d’étude sur le sujet choisi. En ce qui me concerne, j’ai opté pour le photo-reportage car j’avais du bon matériel et je m’appliquais beaucoup à faire des photos intéressantes ; j’ai évidemment écrit aussi pour délivrer mes constats et/ou réflexions. C’est un travail qui est reçu par la fondation et évalué par plusieurs personnes. On a évidemment un retour, on peut en discuter, évoquer certains points mais aucune note n’est donnée car ce n’est pas l’objectif. Très simplement, si le travail est satisfaisant, la fondation nous autorise à réaliser un second voyage, ce qui a été mon cas et Je suis alors parti en Argentine.
Au-delà de la présentation de notre travail à la fondation, il nous est en plus demandé de nous engager à faire un peu de publicité pour Zellidja (c’est même une condition pour que la dernière partie de la bourse nous soit versée). J’ai donc représenté la fondation dans certains forums.
En revanche, au-delà de ces quelques évènements, j’ai assez peu partagé mon travail, d’une part parce qu’on ne me l’a pas demandé, d’autre part, parce qu’après un an ou deux, j’ai commencé à porter dessus un regard assez critique. Maintenant que j’ai vieilli, je trouve les réflexions que j’avais à 18 ans assez naïves et parfois mal exprimées ou dans un style un peu lourd. Mais bon, il faut forcément passer par là ; on évolue. Et je garde de cette expérience un souvenir excellent.
En revanche, au-delà de ces quelques évènements, j’ai assez peu partagé mon travail, d’une part parce qu’on ne me l’a pas demandé, d’autre part, parce qu’après un an ou deux, j’ai commencé à porter dessus un regard assez critique. Maintenant que j’ai vieilli, je trouve les réflexions que j’avais à 18 ans assez naïves et parfois mal exprimées ou dans un style un peu lourd. Mais bon, il faut forcément passer par là ; on évolue. Et je garde de cette expérience un souvenir excellent.
6. Quel a été ton plus beau souvenir de voyage grâce à Zellidja ?
Certainement quelques rencontres, notamment une. Lorsque je me promenais dans les alentours de Pursat, un jeune homme de 16 ans, donc pas beaucoup plus jeune que moi, m’a tendu une chaise et m’a dit qu’il voulait pratiquer son anglais et discuter un peu avec moi. Nous avons discuté puis je suis resté finalement deux jours de plus à Pursat afin que nous visitions ensemble plusieurs endroits. J’ai rencontré sa famille, qui m’a invité à manger. Il m’a emmené voir ses grands parents dans la campagne, qui nous ont fait faire le tour des rizières ; celles que je n’avais vues jusqu’alors que depuis les routes, parfois seulement au travers des fenêtres d’un autobus. Puis, grande surprise, nous avons rejoint les paysans du coin, mis les pieds dans l’eau et ils m’ont appris à planter du riz. On a beaucoup rigolé et moi, sortant parfois de mon corps pour observer la situation et prendre un peu de recul, je me suis dit plusieurs fois “tu es en plein milieu du Cambodge à planter du riz avec les paysans du coin”, quelle chance et quelle expérience ! Lui n’avait pas d’ordinateur mais je lui ai laissé mon adresse mail dans un cahier. Quelques temps plus tard il m’a écrit depuis son université. Aujourd’hui nous avons chacun facebook à la maison. Je le reverrai un jour, c’est certain.
7. Tu peux partir une seconde fois grâce à l’association. En as-tu bénéficié ?
On peut effectivement partir une seconde fois avec l’accord de la fondation, sur la base du travail fourni à l’issue du premier voyage. Ce n’est pas une obligation donc le choix est évidemment personnel. Mais lorsqu’on a goûté à ce genre de voyage une fois, on veut généralement repartir assez vite. C’était mon premier grand voyage au-delà des frontières françaises et européennes et depuis, j’ai visité de nombreux autres pays, sur différents continents. Difficile de ne pas avoir une pensée pour la fondation lorsqu’on monte dans l’avion.
Informations complémentaires :
Réservé aux jeunes francophones de 16 à 20 ans
Dépôt des dossiers pour un premier voyage : le 31 janvier.
Le site de l’association Zellidja.
N’hésitez pas à poser vos questions à Sacha via notre blog si vous souhaitez préparer un dossier de bourse.
Vous aussi, vous avez bénéficiez d’une bourse Zellidja ? Parlez-nous de votre expérience.
Eh bien… j’ignorai tout de cette bourse et de cette fondation! Elle mérite vraiment d’être un peu plus dans la lumière, d’autantplus qu’elle est accessible à tous les francophones! Par contre, 16 ans, c’est un peu jeune, non?
Merci Mellovestravels. On pense aussi que Zellidja est une très belle initiative. 16 ans ? Je pense que tout dépend de la maturité de chacun et du projet associé. Justement, le jury est là pour vérifier que le voyage se passera bien, comme le dit Sacha.
Excellent commentaire et analyse très intéressante de Sacha. Il nous fait vraiment rêvé et me donne personnelement très envie de lire ses écrits “naifs” ! Cette fondation mérite effectivement d’être mieux connues et des expériences comme celle de Sacha plus “médiatisé”. Merci pour cet article, et encore bravo Sacha !
Bonjour Albin.
C’est vrai que malheureusement l’association n’est pas très visible dans les médias et que ce genre de voyage est peu relayé.
On essaye d’y remédier à notre niveau et si possible, de déclencher d’autres voyages de ce type.
Bonjour,
Je suis une jeune fille de 17 ans et je souhaiterai partir en Irlande seule grâce a la bourse Zellidja! Je suis assez mature et j’ai toujours rêvé voyager mais sans en avoir la possibilité (financière) et je suis en train de réfléchir à monter ma candidature mais je suis quelque peu perdu… Les contacts je pourrais en avoir mais pour l’instant j’en ai très peu… et sa me bloque pour me lancer dans le dossier… Auriez-vous des conseils?
Merci d’avance
Tiphaine
Auriez
@tiphaine Je ne peux que te recommander cette bourse, qui est très sérieuse.
As-tu déjà un thème de recherche sur l’Irlande ? Si ce n’est pas encore le cas, commence par te poser la question de ce que tu souhaites découvrir au travers de ce voyage. Quand tu auras ton thème, tu trouveras facilement comment orienter tes recherches de contacts sur Internet.
Si tu le souhaites, je peux te mettre en contact avec Sacha, qui est parti avec Zellidja au Cambodge.
Ecris moi sur Facebook via la Page Fan des Baroudeurs. Je pourrais vous présenter facilement comme ça.
Claudia
Merci de ta réponse très rapide,
Je n’est pas de thème très précis encore et je sais pas qu’est-ce qu’un bon thème qui plaira au jury…
Sinon, j’aurais aimais faire un rapport sur l’éducation des enfants par les familles irlandaises , je m’interesse beaucoup à l’éducation et j’ai souvent entendu que les parents irlandais était très laxiste donc c’est une de mes idées mais je sais pas trop si c’est un sujet qui peut se faire… Sinon faire un reportage photo des meilleurs points de vues de l’Irlande me tente pas mal puisque j’aime beaucoup la photo!
Je serai ravi d’être en contact avec lui pour qu’il m’aiguille un peu !
Je t’envoie un message sur facebook dès que je peux!
Merci ! A bientôt!
Tiphaine
@tiphaine Le plus dur est de trouver le thème qui leur parlera. Un de mes amis avait fait un super reportage photo sur “être gay en Inde”. C’est le genre d’analyse qui plaît à Zellidja.
Je te mets en contact avec Sacha. Il pourra d’aider bien plus que moi 😉
Claudia
Bonsoir,
j’ai 16 ans et j’aimerai moi aussi partir à l’aide de cette bourse Zellidja. Mon projet serait de partir en Australie du nord découvrir la médecine traditionnelle aborigène. Malheureusement je n’ai pas vraiment de contact dans cette partie du pays et je ne sais pas comment en trouver ? Pourrais-tu me mettre en contact avec Sacha aussi afin que je lui pose quelques questions car ce projet me tient vraiment à coeur ? Merci beaucoup
@moutte Bonjour,
Comme promis, je t’ai mis en contact avec Sacha qui te donnera toutes les pistes possibles pour rédiger ton dossier de bourse Zellidja.
Pour l’Australie, il faut savoir que l’administration est très stricte quant à l’accès des réserves. Il faut parfois s’inscrire sur une liste d’attente et demander une autorisation de visite plusieurs mois à l’avance. Mais si tu calcules bien ton timing, c’est une super bonne idée. Je pourrais te donner quelques contacts en Australie si tu veux 😉
Claudia
Bonjour, j’ai lu votre article que j’ai trouvé très intéressant. Je viens à peine de découvrir la bourse zellidja et pour moi c’est malheureusement trop tard, j’ai 20 ans cette année je ne pourrais pas tenter ma chance l’année prochaine. Mais je pense malgré tout que rien ne m’empêche de me débrouiller par moi même pour me donner les moyens de voyager,et le Cambodge est justement la destination qui m’attire le plus. C’est pourquoi j’aimerai connaître le budget que vous vous êtres fixé avec les bourses, ce que vous avez vraiment dépensé une fois sur place, comment vous vous y êtes rendu ?
@amandine
Je ne sais pas quel était le budget de Sacha mais je peux te renseigner sur le mien.
Il faut déjà que tu saches que, aussi étonnant que ça peut paraître, le Cambodge est sûrement le pays d’Asie du sud est où voyager coûte le plus cher. En effet, on t’obligera quasiment à tout payer en dollars et le niveau de vie étant très bas, les taxis et les hôteliers se vengent un peu.
Le billet d’avion est assez cher également donc j’avais opté pour un Paris-Bangkok. De là, tu peux prendre un vol dans les 50 euros vers Pnomh Penh. Tu peux également rejoindre la capitale en train, ce qui est assez sympa 😉
Pour te donner un ordre d’idée, compte entre 10 et 20 euros la nuit, 15 euros pour manger par jour et 200 euros pour accéder aux sites d’Angkor si tu veux y aller.
En un mois, j’ai dépensé 1000 euros hors billets d’avion en faisant un peu attention et sans être vraiment regardante sur les hôtels.
Si tu as besoin d’autres renseignements, n’hésite pas à me contacter 😉
Hey, je suis très intéressé par cette bourse et je voudrais savoir comment tu as choisie ton sujet et comment tu as réussie à en faire quelque chose de réalisable ?
Merci d’avance pour ta réponse.
@patrice-f Bonjour,
Désolé j’étais en vadrouille au Portugal.
Je te mets en contact avec Sacha, mon pote qui est parti avec Zellidja au Cambodge via la page Facebook des Baroudeurs si tu veux. Envoie moi un mail privé et je te transfère son compte Facebook 😉
Bonjour, jai déjà entendu parler de zellidja et je suis justement en train de préparer mon projet, mais comme la personne du dessus je me posais la question sur le choix du sujet ; serait-il possible que vous me mettiez en contact avec Sacha afin de m’éclairer dans ma recherche? Merci d’avance!
Bonjour @juliette
La Bourse encourage particulièrement les projets ayant un rapport à l’Histoire du pays ou à un aspect de la société dans laquelle tu évolueras.
Sacha pourra en effet t’aiguiller davantage que moi. Voici son Facebook : Sacha Rbn.
Je te souhaite de la décrocher !!
Ça semble vraiment intéressant mais qui vous a accueilli lors de votre voyage là-bas? Est ce que vous avez trouvé un logement, un hôtel peut-être? Et combien de temps le voyage avait-il duré?
Personne ne l’a accueilli. C’est tout l’intérêt de la Bourse : apprendre à faire ses recherches en amont pour trouver des contacts, un hébergement et un sujet pour mettre à profit le voyage.
Bonjour, j’ai 16 ans et j’aimerais partir en Nouvelle Zélande pour m’intéresser à la culture maori. J’aimerais avoir quelques conseils sur la formation du dossier à rendre. Merci !
Bonjour Coline,
N’ayant pas postulé moi-même à la Bourse Zellidja, je ne peux pas t’en dire plus sur le dossier. Néanmoins, si tu as des questions complémentaires, n’hésite pas à contacter l’association elle-même. Je suis sûre qu’ils te donneront plus de détails sur ce qu’ils attendent d’un dossier et sur la meilleure façon de présenter ton projet.
Bonne chance pour cette superbe initiative !